Commentaires pour PSYCHANALYSE ET EFFETS POETIQUES … méandres du désir d'analyste http://luminitzaclaudepierre.com Luminitza CLAUDEPIERRE TIGIRLAS --------------- ... Depuis Goethe, l'infini est toujours aussi loin... ----------...Nous y sommes et ce site en est une preuve tout en errant encore entre l'infans et le babil... Mon, 06 Sep 2010 15:03:40 +0000 hourly 1 http://wordpress.com/ Commentaires sur La psychanalyse et l’équivoque par Georges http://luminitzaclaudepierre.com/2010/07/19/la-psychanalyse-et-lequivoque/#comment-18 Mon, 06 Sep 2010 15:03:40 +0000 http://luminitzaclaudepierre.wordpress.com/?p=1#comment-18 Bravo pour l’ouverture du blog, riche thématique que celle que tu as choisi pour avancer dans tes recherches entre Savoir et Vérité certes, entre Fiction (poésie?fantaisie?) et Vérité également…
Comme tu m’y as invité, j’apporte ma contribution!
Le lien entre la psychanalyse et la poésie est-il insuffisamment secret? Dans le premier paragraphe de ses « contributions à la psychologie de la vie amoureuse », Freud se livre à une brève comparaison des deux démarches, poétique et « scientifique » à propos des « conditions déterminant l’amour ». Mais comment ne pas reconnaître l’analyste dans le poète, dont Freud loue (entre autre) la liberté de penser et le rapport au plaisir? Ce court passage où Freud aborde le lien entre psychanalyse et poésie a-t-il également retenu ton attention?

]]>
Commentaires sur Le niveau infans du discours par Chris http://luminitzaclaudepierre.com/metonymie/le-niveau-infans-du-discours-suite/#comment-17 Wed, 18 Aug 2010 09:45:56 +0000 http://luminitzaclaudepierre.wordpress.com/#comment-17 Précisons qu’à l’origine, le terme discours, du latin discurrere, signifiait «courir çà et là» et n’était donc pas directement lié à la parole. C’est vers la fin de la « latinité » que le terme « discursus », prend le sens de discours, d’abord en définissant cette zone imprécise entre conversation et entretien, puis en renvoyant plus généralement à une certaine mise en forme parlée ou écrite de la pensée. D’abord fut le « verbe », le discours et ses dérives vinrent ensuite…

]]>
Commentaires sur LE NIVEAU INFANS DU DISCOURS par Ella http://luminitzaclaudepierre.com/2010/07/31/le-niveau-infans-du-discours/#comment-16 Thu, 12 Aug 2010 17:01:11 +0000 http://luminitzaclaudepierre.wordpress.com/?p=70#comment-16 Par cette lecture, vous m’amenez au coeur de ma question vitale. J’ai peur autant que je cherche du côté du désir.

]]>
Commentaires sur Sauf… par THX1138 http://luminitzaclaudepierre.com/2010/07/28/sauf/#comment-15 Thu, 12 Aug 2010 07:27:43 +0000 http://luminitzaclaudepierre.wordpress.com/?p=45#comment-15 Vous ne vous trompez pas chère Valère et pourtant, comme vous le précisez, cette rencontre est bien singulière. En effet, la relation personnelle entre ces deux hommes, pratiquement du même âge (Lacan est né en 1901, Blanchot en 1907), même en y supposant l’entremise de Georges Bataille et de Sylvia, n’a pas dû être très étroite.
Même dans les années de triomphe du marxisme, de l’existentialisme, de la phénoménologie, une commune admiration pour Mallarmé et pour Heidegger surtout n’aurait sans doute pas suffi à faire lien entre ces deux-là, que des vocations trop différentes animaient : la psychanalyse, expérience orale, étant à priori trop étrangère à l’être « de pures lettres » qu’a voulu être Maurice Blanchot. N’oublions pas que ce que Lacan a visé, le nommant d’abord « sujet », et plus tard « parlêtre », est bien différent de ce qu’on pourrait appeler le « littérêtre » de Maurice Blanchot. Entre eux, il y eu toujours un décalage, Lacan ne citant dans ses séminaires que des œuvres vieilles de dix ou vingt ans, Blanchot, par profession, plus à l’heure de l’édition, passant en revue des textes plus récents mais avec la distance du penseur et de l’écrivain…. Étrange paradoxe donc, que ces deux pensées qui marchent cote à cote, si l’on peut dire, mais à fronts renversés, puisque Lacan, l’homme de paroles, a quand même publié un volume d’Écrits, alors que Blanchot, l’homme de « lêtre », L’Entretien infini ! Il a donc bien fallu qu’ils finissent par se rapprocher – sciemment ou à leur insu ? – pour ainsi se traverser.

]]>
Commentaires sur Sauf… par Valère Doutrin http://luminitzaclaudepierre.com/2010/07/28/sauf/#comment-14 Wed, 11 Aug 2010 17:43:38 +0000 http://luminitzaclaudepierre.wordpress.com/?p=45#comment-14 Si, je ne me trompe pas, il semblerait que l’analyste que Maurice Blanchot ne nomme pas serait Jacques Lacan. En tout cas, le livre témoigne d’une rencontre singulière et ouvre un voile sur sur le travail analytique. D’ailleurs, je ne suis pas très sûr que l’écriture aussi dense de Blanchot vise ce genre d’ouverture. Ce peut-être moi qui en rêve.

]]>
Commentaires sur Fourmis-Parasols par Tristan Coler http://luminitzaclaudepierre.com/les-fourmis-parasols-de-linconscient/#comment-13 Wed, 11 Aug 2010 16:41:51 +0000 http://luminitzaclaudepierre.wordpress.com/#comment-13 Ces fourmis- coupeuses de feuilles me font penser à la mante religieuse qui dévore la tête du mâle après l’étreinte. Coupure, amour mortel, castration – voici une chaîne associative qui se déroule pour moi à la lecture de votre texte « Fourmis – Parasols de l’inconscient » et j’espère avoir l’occasion de lire la suite. A bientôt, donc.

]]>
Commentaires sur Fourmis-Parasols par Bellérophon http://luminitzaclaudepierre.com/les-fourmis-parasols-de-linconscient/#comment-12 Wed, 11 Aug 2010 06:58:37 +0000 http://luminitzaclaudepierre.wordpress.com/#comment-12 Cache-cache…
Fourmis – Parasol de l’inconscient ou parasol pourl’inconscient ?? Une ombrelle pour l’abriter ou un totem pour le glorifier ???
Montrer et cacher sont alors les deux façons de faire exister ce qu’on a. La mascarade devient le symptôme qui fait exister l’avoir en le masquant. C’est un symptôme qui traite la vérité par le mensonge.
Je suis ce que je montre que je suis (un phallus) // Je suis ce que je ne montre pas que je suis (mascarade).

]]>
Commentaires sur La psychanalyse et l’équivoque par Bellérophon http://luminitzaclaudepierre.com/2010/07/19/la-psychanalyse-et-lequivoque/#comment-11 Mon, 09 Aug 2010 09:11:59 +0000 http://luminitzaclaudepierre.wordpress.com/?p=1#comment-11 Peut-on dire que c’est l’échec du langage qui révèle les pouvoirs de la parole poétique ?? Comme Hegel l’avait déjà fait remarquer, le langage devrait exprimer la singularité de l’expérience individuelle, or les langues que nous parlons ne peuvent dire que l’universel. Le poète va donc s’installer au «défaut des langues» (Mallarmé) et la poésie à l’envers de la langue.
Cette conscience de l’échec du langage va conduire le poète à redécouvrir le silence d’où la parole prend son origine : «Faire du silence avec le langage» disait paradoxalement Sartre…
Pourtant, la poésie est constamment menacée par le silence, qui s’origine de l’inadéquation des mots aux choses, mais qui cependant, tire ses meilleurs effets du glissement et du heur des signifiants, de l’incantation et du rythme, de la vibration des mots et des sons… Dans «Crises de vers», Mallarmé définissait déjà la poésie comme «la merveille de transposer un fait de nature en sa presque disparition vibratoire». Or, la psychanalyse nous rappelle que cette distance du sujet à la chose est la condition même de la parole.

]]>
Commentaires sur Le niveau infans du discours par Chris http://luminitzaclaudepierre.com/metonymie/le-niveau-infans-du-discours-suite/#comment-10 Fri, 06 Aug 2010 07:30:00 +0000 http://luminitzaclaudepierre.wordpress.com/#comment-10 Comme le rappelle Laurence Lentin « parler est le propre de l’homme. Seul parmi les animaux, l’être humain est « doué de parole. »
Le pouvoir passe par la parole, dès le début, même dans une classe : Du pouvoir du maître au pouvoir des leaders…. Il faut donc apprendre à découvrir toutes les possibilités d’expression, et à savoir entendre et comprendre les autres. Le besoin de parler est né avec la capacité organique et psychique de prononcer des phrases articulées et ainsi de former des représentations à partir des perceptions, de transmettre des émotions par le sens des mots et pas seulement par des cris et des expressions corporelles. Dès que homo sapiens est apparu il a ainsi élargi son entourage, formé des groupes de paroles : palabres évoluant en parlements, confréries, équipes et séminaires divers… c’est à dire “depuis toujours”.
Puis est venue la poésie… Le poète cherche l’In-formulable, c’est-à-dire l’objet de la parole mais situé dans un autre langage : « celui du Réel Autre dont l’expérience intime est abîme du sens » comme le disait Celan.La poésie est une parole éveillée. pur éveil du soi pour-soi , éveil fuyant, parole fuyante. Nécessité libre de l’arbitraire dans la quête de soi. La poésie est un refus ontologique de la nécessité, et une postulation éthique de l’arbitraire.
Alors, au final peut-on affirmer que toute parole spirituelle qui tourne le dos à la poésie et se fait discours, nous ment ???

]]>
Commentaires sur UNE POETIQUE DE L’EQUIVOQUE DANS L’ACTE ANALYTIQUE par doinadoina http://luminitzaclaudepierre.com/mon-seminaire-a-lanalyse-freudienne/#comment-9 Thu, 05 Aug 2010 18:35:04 +0000 http://luminitzaclaudepierre.wordpress.com/#comment-9 Les hiboux comme lien ou comme symbole?

]]>